En sept ans, le programme 4Afrika a soutenu des milliers de jeunes et de partenaires en Afrique pour combler le déficit de compétences et assurer la réussite future du Continent
Dans le cadre de l’objectif de Microsoft d’autonomiser la jeunesse africaine et de favoriser une économie fondée sur la connaissance et la compétence, Microsoft, par le biais de son initiative 4Afrika, travaille avec des partenaires à travers tout le continent pour développer des compétences et constituer des viviers de talents numériques.
L’accroissement démographique de la jeunesse africaine signifie qu’environ 60 % de la population totale du continent a aujourd’hui moins de 35 ans. Selon le rapport « Future of Jobs » du Forum économique mondial, les employeurs d’Afrique subsaharienne considèrent qu’une main-d’œuvre insuffisamment qualifiée constitue un obstacle majeur à leurs activités et à leur croissance. Sans compétences adéquates, le chômage restera élevé, les entreprises et les industries ne seront pas en mesure de se moderniser efficacement, et l’économie et la compétitivité de l’Afrique négativement impactées.
Il est essentiel de combler le déficit de compétences pour assurer la réussite future de l’Afrique. Lorsque le programme Microsoft 4Afrika a été lancé en 2013, il s’articulait autour de trois grands axes qui sont toujours d’actualité : l’accès, les compétences et l’innovation. Le programme 4Afrika, qui célèbre aujourd’hui son septième anniversaire, a investi dans des start-ups, des partenaires, des petites et moyennes entreprises, des gouvernements et la jeunesse africaine, dans le but de donner les moyens d’agir à ceux qui ont les bonnes idées.
Le partenariat stratégique entre l’USAID et Microsoft4Afrika pour la mise en œuvre des Centres régionaux de Leadership (RLC) de l’Initiative des Jeunes Leaders africains (YALI RLC) a permis de former plus de 11 000 jeunes Africains.
Les quatre RLC du Sénégal, du Kenya, de l’Afrique du Sud et du Ghana ont pour but d’encourager l’apprentissage autour de la transformation et d’améliorer les compétences en matière de leadership. Chaque centre propose des formations magistrales et des formations en ligne dans les domaines des affaires et de l’entrepreneuriat, du leadership civique et de la gestion publique. Dans les quatre centres, Microsoft a mis à disposition des licences Office 365, des licences et des bons de certification Microsoft Imagine Academy, des PC, des bénévoles Microsoft ainsi qu’un responsable de programme dédié.
À Dakar, le RLC a formé 3 000 anciens élèves grâce aux programmes hybrides et en ligne. Le programme en ligne compte désormais 1 000 participants, tandis qu’au Ghana voisin, le RLC d’Accra a bénéficié d’un accès gratuit à Office 365, avec 1 532 utilisateurs actifs profitant de l’accès à la technologie. Au-delà de la formation dispensée par les RLC, Microsoft a placé 100 membres du YALI Mandela Washington dans les bureaux de représentation de Microsoft à travers le continent pour des stages.
« Les efforts de Microsoft4Afrika se concentrent sur notre population de jeunes afin de s’assurer que la technologie puisse bénéficier à tous les jeunes pour devenir les leaders de demain. Pour marquer le septième anniversaire du programme, nous sommes fiers de montrer nos réalisations dans le développement des compétences au Sénégal, en partenariat avec des organisations ayant la même vision, telles que YALI. Notre rôle consiste à améliorer les compétences des jeunes dans l’acquisition d’aptitudes techniques nécessaires à leur employabilité ou pour commencer leur parcours d’entrepreneur avec les compétences appropriées et contribuer ensuite de manière significative au développement économique du Continent », déclare Yacine Barro Bourgault, responsable du segment PME-PMI chez Microsoft Moyen-Orient et Afrique.
Bien que les outils d’apprentissage en ligne soient une ressource inestimable, Microsoft reconnaît que l’apprentissage en ligne ne suffit pas à améliorer les compétences des jeunes Africains. Si les compétences techniques sont importantes, les compétences de savoir-être font défaut dans ce processus, notamment en matière de communication, de collaboration, d’agilité et de leadership. Ces compétences s’acquièrent mieux dans des environnements de travail réels. Le programme Interns4Afrika de Microsoft4Afrika vise à offrir aux jeunes diplômés la possibilité de développer leur carrière grâce à des stages de six mois dans des organisations partenaires de Microsoft. Le programme contribue à combler le fossé entre les compétences des diplômés et l’ensemble des compétences que les employeurs recherchent, tout en offrant aux diplômés une expérience professionnelle concrète et pratique pour les aider à passer de l’apprentissage à la rémunération.
En ayant accès à des stagiaires formés et certifiés par Microsoft, les partenaires de Interns4Afrika peuvent élargir leur vivier de talents et retenir les meilleurs d’entre eux. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : à ce jour, 926 stagiaires ont été placés auprès de 176 partenaires dans 21 pays africains, et 85 % d’entre eux ont été retenus par leurs organisations d’accueil à la fin de leur stage.
Le développement des compétences ne concerne pas seulement les diplômés, Microsoft soutient également l’apprentissage continu, le perfectionnement et le recyclage des employés actuels des TIC. Sous les auspices de l’initiative Microsoft4Afrika, le programme MySkills4Afrika permet aux employés bénévoles de Microsoft de donner de leur temps et de leur talent pour encadrer les partenaires et leurs bénéficiaires. Ces volontaires passent deux à trois semaines à travailler avec l’équipe du partenaire, partageant des compétences et une expertise transférables, tant en termes de compétences techniques que de stratégie numérique. Grâce à ce programme, 400 organisations ont été soutenues par plus de 600 volontaires Microsoft dans 21 pays. Tout récemment, un employé de Microsoft s’est rendu à Dakar pour partager des compétences et une expertise précieuses avec une entreprise sénégalaise partenaire de Microsoft, en formant ses employés à la technologie du cloud et aux stratégies visant à stimuler l’adoption du cloud sur les marchés locaux, au cours d’un engagement d’une semaine sur place.
Lors d’une table ronde présentée par Microsoft aujourd’hui à Dakar, le travail que l’entreprise effectue pour donner plus de pouvoir aux jeunes du continent a été exposé aux médias régionaux. Organisé par Yacine Barro Bourgault, responsable du segment PME-PMI chez Microsoft Moyen-Orient et Afrique, l’événement a permis aux journalistes invités d’entendre les partenaires de Microsoft parler de leurs expériences de collaboration avec Microsoft4Afrika et ses programmes et de la valeur qu’ils tirent de leur collaboration avec l’initiative.
Les initiatives de Microsoft4Afrika en matière de compétences numériques et d’employabilité visent à développer la main-d’œuvre d’aujourd’hui et de demain, à combler le manque de compétences et à faire correspondre les offres d’emplois avec les bons talents. Grâce à des programmes de développement des compétences tels que Interns4Afrika et MySkills4Afrika, et à des partenariats avec des programmes similaires tels que YALI, Microsoft s’engage à offrir des possibilités de développement et de soutien à la jeunesse africaine.
A propos de Microsoft4Afrika
Microsoft (Nasdaq « MSFT » @microsoft) permet la transformation numérique à l’ère d’un cloud intelligent. Sa mission est de donner à chaque personne et à chaque organisation sur la planète les moyens de faire plus.
L’initiative 4Afrika est le moteur de développement des entreprises et des marchés de Microsoft en Afrique. Lancée en 2013, elle vise à libérer et à accélérer le potentiel de l’Afrique pour créer une technologie non seulement pour le continent mais pour le monde.
En sept ans, l’initiative 4Afrika a touché 1,7 million de petites et moyennes entreprises, a soutenu plus de 300 start-ups, 12 partenariats d’accélération, a formé 108 000 Africains à la Microsoft Cloud Society, a placé 926 stagiaires chez 176 partenaires avec un taux de placement de 85 %, et a produit 2 073 diplômés de 19 Laboratoires de Compétences, avec un taux d’emploi de 85 %. Cette initiative a été reconnue par l’International Finance Corporation comme un exemple de meilleure pratique en matière de développement des compétences en Afrique subsaharienne.