L’innovation et le digital sont aujourd’hui en synergie avec l’Afrique
Energie, santé, éducation et agriculture sont des thématiques récurrentes pour permettre au continent et à ses 54 pays de passer un cap décisif dans l’aide au développement
C’est dans cette énergie positive et avec passion qu’une équipe s’est formée autour de Stephan Eloise Gras et Gille Babinet pour lancer Africa4Tech dont le premier évènement aura lieu en Octobre au Maroc. Une date proche justement de la première « Conférence Of the Parties » en Afrique, la COP22 !
Un réseau d’innovateurs réunis au Maroc pour 72h de conférences, réunions, échanges et mises en avant des solutions innovantes et concrètes pour transformer le continent.
4 grandes thématiques pour Africa4tech
- L’énergie bien sur avec l’explosion des green tech. L’Afrique, comme avec la révolution du téléphone mobile est en train de passer directement des énergies fossiles aux énergies vertes. Noor au Maroc justement avec la plus grande centrale géothermique en Afrique, une centrale qui verra sa capacité doubler en 4 ans…
- La santé avec l’explosion des solutions collaboratives en ligne, du big data avec la collecte des données sur les maladies (ébola, paludisme, VIH…). Et les applications mobiles qui profitent de l’explosion du renouvèlement du parc des téléphone passant des mobiles vers les Smartphones avec le plus grand marché au monde : 750 millions de mobiles en service. Plus qu’au USA ou en Europe…
S’il faut globaliser l’innovation africaine, il s’agit aussi d’africaniser l’innovation globale pour insuffler une vision du numérique davantage inclusive, durable, créative et utile. Indique Gilles Babinet co-founder d’Africa4Tech
- L’agriculture et les deux milliards d’habitants en 2050 en Afrique. Produire équitable et rentable, la aussi avec les enchères en ligne, les application de « m-farm » et la démocratisation des informations météos, marchés, et comptes sur mobile avec le mobile money ou M-banking.
- L’éducation et les possibilité offertes par les MOOC, l’échange de savoir, les écoles de codeurs qui forment enfin les développeurs vers du « made in Africa » mixant le top des technologies avec la culture locale et l’incroyable richesse du continent. Un défi qui exacerbe les plus jeunes comme les GAFAM. Un espoir qui déjà prend forme au Kenya, en Ethiopie et dans de nombreux pays parfois bien plus dynamique qu’en Europe ou aux USA.
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