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Nord-Cameroun : la traque de Boko Haram s’intensifie

Nord-Cameroun : la traque de Boko Haram s’intensifie

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Au nord du Cameroun, les bases arrières de Boko Haram seraient nombreuses.© AFP
Depuis plusieurs semaines, le Nigeria connaît une vague d’attentats meurtriers perpétrés par la secte islamiste Boko Haram. Pour empêcher toute infiltration, les autorités ont fermé les frontières avec le Cameroun, qui s’emploie désormais à chasser les terroristes infiltrés dans le nord du pays. Enquête.
Depuis la recrudescence des attentats au nord du Nigeria, les autorités du nord du Cameroun mènent une lutte acharnée contre les membres présumés de la secte islamo-terroriste Boko Haram. Dans le seul secteur de Mora (département du Mayo-Sava), plus de 600 militaires et agents des forces spéciales ont été déployés. Le dispositif de « renseignement et de surveillance », qui tire l’essentiel de ses éléments du 4e secteur militaire et du 32e Bataillon d’infanterie motorisé, a été mis sur pied pour empêcher toute infiltration en territoire camerounais après la fermeture de la frontière décidée par le Nigeria.
La nébuleuse Boko Haram
Dans la ville de Garoua, le gouverneur de la région du nord, Ngambo Haman, a prescrit la « vigilance permanente » peu après l’interpellation dans le courant de décembre 2011 d’une dizaine de prédicateurs nomades, membres présumés de Boko Haram, qui tentaient de recruter des sympathisants moyennant d’importantes sommes d’argent dans la localité de Lagdo (département de la Bénoué).
« La menace islamiste est là. Boko Haram est une nébuleuse (voir l’interview vidéo de Patrick Smith ci-dessus) et il est presque impossible de dire qui en est membre. C’est un groupe composite composé de Nigérians, Camerounais, Nigériens et Tchadiens. Nous avons pris toutes les dispositions pour protéger notre territoire », explique Ernest Ewango, préfet du département du Logone et Chari, contacté lundi par Jeune Afrique.
Les 3 et 4 janvier derniers, dix autres prédicateurs nomades venus du Nigeria ont également été interpellés dans le village de Dabanga. Conduits à Maroua, ils ont été gardés à vue et interrogés. Le préfet a expliqué qu’ils avaient été « éconduits parce que ce n’est pas le bon moment pour laisser faire les prédicateurs nomades, avec tout ce qui se passe au Nigeria ».
« Ne pas agir dans la précipitation »

Six des dix suspects restaient aux arrêts mardi tandis que quatre autres avaient été relaxés. « Les forces de sécurité camerounaises mettent tout en œuvre pour identifier les membres présumés de Boko Haram. Il ne faut pas agir dans la précipitation au risque d’impliquer des gens qui n’ont rien à voir dans cette affaire », explique un haut gradé en charge de la gendarmerie au secrétariat d’État à la Défense.
Mais la lutte contre Boko Haram et la fermeture de la frontière ne sont pas sans conséquences sur l’activité économique dans le grand nord. Le déploiement de centaines de militaires camerounais le long de la frontière avec le Nigeria a entraîné la fuite de la plupart des trafiquants de carburants et des contrebandiers de tout acabit qui exercent dans la zone. Du coup, le prix de l’essence de contrebande est passé du simple au double. Tout comme ceux de la farine, du sucre, et d’autres produits fabriqués au Nigeria.
http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20120117114042/petrole-nigeria-cameroun-islamistesnord-cameroun-la-traque-de-boko-haram-s-intensifie.html

Luanda, le Monaco de l’Afrique

Luanda, le « Monaco de l’Afrique »

En pleine reconstruction, la capitale de l’Angola, Luanda, accueille près de 6 millions de personnes. Elle vient d’être classée ville la plus chère au monde, alors que les deux tiers des Angolais gagnent moins de deux dollars par jour.

Sur le même sujet

L’Angola, riche en pétrole et pourtant si pauvre

L’Angola est le premier producteur africain de pétrole. Le litre d’essence y coûte moins de 50 cents. Le bonheur de tous les automobilistes, mais c’est bien la seule chose qui ne soit pas chère dans la capitale angolaise. Construite pour 600 000 habitants, Luanda accueille près de 6 millions de personnes. Et même les fonctionnaires du gouvernement ont du mal à joindre les deux bouts.

Des banlieues qui poussent comme des champignons

Conséquence du boom pétrolier: pas un deux pièces à moins de 5000 dollars par mois. Et dans le neuf, c’est 20 000 dollars par mois pour moins de 100 mètres carrés dans cet immeuble payable avec un an d’avance. Une inflation qui contraint la classe moyenne à vivre loin, très loin du centre-ville. Les banlieues poussent comme des champignons.

Diogo a déjà pré-vendu 220 unités au prix du mètre carré de Paris. Même s’il n’y a ici ni eau courante ni électricité… Dans un pays qui enregistre une croissance de plus de 20% par an, tout les investisseurs sont optimistes. Luanda vient d’être classée ville la plus chère au monde, devant Tokyo. Les deux tiers des Angolais, qui gagnent moins de deux dollars par jour, se préparent donc à vivre dans ce que l’on surnomme déjà le « Monaco de l’Afrique ».

http://www.france24.com/fr/20080914-luanda-le-monaco-lafrique-angola

Sud-Soudan: retrait de l’armée russe?

La Russie envisage de retirer prochainement son contingent et ses hélicoptères du Soudan du Sud en raison de la multiplication des attaques contre son personnel, a indiqué mardi le vice-ministre des Affaires étrangères, Guennadi Gatilov. « C’est probable », a-t-il dit à des journalistes russes.

Plusieurs hélicoptères et quelque 120 Russes, parmi lesquels des pilotes, sont actuellement déployés dans cette région dans le cadre de la mission de l’ONU au Soudan du Sud (Minuss), a précisé Guennadi Gatilov. « Malheureusement, nous ne sommes pas satisfaits des conditions de sécurité ces derniers temps dans cette région », a-t-il ajouté, soulignant que les attaques s’étaient multipliées et que des hélicoptères russes avaient essuyé des coups de feu.

La Russie s’est déjà adressée aux Nations unies et aux autorités du Soudan du Sud pour leur demander de garantir la sécurité du personnel russe dans cette région, mais la situation ne s’est pas améliorée, a indiqué Guennadi Gatilov.

Le Soudan du Sud est un Etat indépendant depuis juillet dernier, après deux décennies de guerre d’indépendance contre les autorités de Khartoum. Le Nord et le Sud entretiennent des relations toujours très tendues, empoisonnées par des conflits frontaliers persistants et un désaccord total sur le partage des ressources de pétrole.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/01/17/97001-20120117FILWWW00419-sud-soudan-retrait-de-l-armee-russe.php

Nigéria & manifestations…

Alors que les syndicats nigérians ont appelé lundi 16 janvier à la « suspension » de la grève générale qui paralyse le pays depuis plus d’une semaine, les autorités ont menacé d’arrêter toutes personnes qui continueraient à manifester contre la hausse du prix du carburant.

« Dorénavant, toute personne continuant à manifester sera arrêtée et déférée immédiatement au tribunal ». C’est ainsi que les autorités nigérianes ont menacé de réagir en cas de nouvelles manifestations, suite au mot d’ordre de suspension de la grève générale par les syndicats lundi 16 janvier.

« Tout individu ou groupe d’individus appelant à un changement de régime avant la fin de la présente législature commet une trahison et sera arrêté et poursuivi en justice, peu importe qui il ou elle est » a ajouté le communiqué officiel.

Cette annonce intervient alors que les syndicats ont appelé à cesser tout rassemblement, une semaine après le début de la grève générale qui répond à la hausse brutale du carburant suite à l’arrêt des subventions de l’État annoncé le 1er janvier.

« Les syndicats et leurs partenaires annoncent formellement la suspension de la grève, des rassemblements et des manifestations à travers le pays », a déclaré Abdulwahed Omar, le chef de la puissante centrale Nigeria Labour Congress, sans fixer de période à cette suspension.

« Déréglementation complète »

Plus tôt lundi, le président Goodluck Jonathan avait, sans céder sur le fond de cette réforme, annoncé une baisse du nouveau prix de l’essence d’environ 30%, « compte tenu des difficultés rencontrées par les Nigérians ». La brusque suppression au 1er janvier des subventions des carburants a entraîné le doublement du prix de l’essence à la pompe, passé de 65 nairas le litre (0,40 dollars, 0,30 euros) à 140 nairas ou plus du jour au lendemain. Le gouvernement nigérian compte pourtant « poursuivre une déréglementation complète du secteur pétrolier », a déclaré le président, tout en demandant l’arrêt de la grève.

Pendant l’allocution télévisée du chef d’État, quelque 300 manifestants ont alors protesté dans les rues de Lagos. Les forces de sécurité ont tiré en l’air et utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser la foule tandis que les autorités prenaient des mesures pour empêcher les rassemblements dans le pays. Des barages avaient été erigés pour la première fois par des soldats armés aux points stratégiques de la capitale économique du Nigeria.

« Avec tout ce qui s’est passé durant les huit derniers jours, nous sommes certains que ni le gouvernement ni aucune institution ne pourra plus considérer qu’avec les Nigérians les choses sont acquises », a déclaré pour sa part Abdulwahed Omar, justifiant son appel à cesser le mouvement de grève général.

(Avec AFP)

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