Facebook doit absolument séduire de nouveaux utilisateurs pour assurer son développement. Il n’y à pas de solution miracle: il faut toucher les pays en voie de développement. L’Afrique constitue le plus grand potentiel.
Mais pour que Facebook trouve de nouveaux ultilisateurs ceux-ci doivent impérativement être connectés. C’est la qu’intervient Athéna !
La solution à ce casse-tête est simple : il faut offrir à ces futurs utilisateurs un accès à internet, si possible fiable et rapide. Facebook avait commencé à travailler sur des drones (le projet Aquila) qui auraient fourni un accès internet dans les endroits reculés. Mais le réseau social a finalement décidé de viser beaucoup plus haut.
Un accès à internet… et à Facebook
Facebook a confirmé des informations de Wired sur un autre projet, plus ambitieux encore : dans le courant de l’année prochaine, l’entreprise lancera un satellite qui aura pour but de connecter des zones privées d’internet. Baptisé Athena, ce satellite tournera autour de la planète dans une orbite basse, et sa mission sera « limitée » dans la durée.
Il est donc fort probable qu’il s’agisse, dans un premier temps, de tester la pertinence et l’efficacité d’une telle solution. Avant, sans doute, de mettre les bouchées doubles dans un programme spatial de plus grande ampleur. L’orbite basse visée par Facebook laisse penser que le groupe a l’intention de créer un « nuage » de centaines, voire de milliers de satellites gravitant tout autour de la Terre afin de fournir la couverture la pus complète du globe.
Facebook n’est pas la seule entreprise à s’intéresser aux satellites d’accès à internet. SpaceX a déjà envoyé deux engins dans l’espace, qui pourraient à terme être rejoints par des centaines d’autres dans le cadre du projet Starlink.
Avec GDG