L’Union africaine-African Union tourne la page des pince-fesses ?
Sonnette d’alarme entendue, à la sortie du rapport du comité de haut niveau institué par le boss de la Commission de l’UA Moussa Faki Mahamat : le harcèlement sexuel est « très répandu » dans l’organisation, en particulier, « par des responsables à l’encontre d’employées de sexe féminin placées sous leurs ordres lors de missions à caractère officiel à l’extérieur du lieu de travail ».
Exit les afters collés-serrés des symposiums/ateliers-de-formation/conférences à per diem au cours desquels les manitous tentent d’exploiter « les employés à contrat déterminé, les bénévoles et les stagiaires », en faisant aux jeunes femmes « des promesses crédibles de contrats ».
L’UA fait part de son intention de « renforcer sa politique de tolérance zéro ». Un signal #BalanceTonGrosLourd qui devrait avoir des échos dans les administrations ici, là et aussi là.